Kyôzô (c'est son prénom) eut la neurasthénie quand il était adolescent, et il ne pouvait plus sortir de chez lui. Il alla demander le conseil à son professeur tout de même, qui lui interrogea s'il lui était possible de quitter la ville pour n'importe où, à qui Kyôzô répondit que oui. On l'envoya à Horodzuki, hameau tout au nord de la péninsule de Tsugaru.
Le poète dit qu'Horodzuki était sa première expérience de rencontrer la société réelle.
A ce seul "lettré" approchable du village, les vieilles villageoises demandèrent d'écrire des lettres à leurs maris et fils pour elles. Il s'étonna de constater qu'elles ne lui dictaient que la plainte sur leur vie dure. Il reconstruisit leur jérémiade en ce poème, lorsqu'il travaillait dans une petite maison d'édition de Tokyo qui se trouvait en bas du précipice. Ainsi écrivit-il ce poème sur le village sans soleil à un endroit sans soleil.
Assez récemment, on a fait le monument de ce poème à Horodzuki.
Ce poème qui n'a rien de joyeux est peut-être la seule oeuvre littéraire qui parle de ce village, mais j'avoue que je comprends mal les sentiments des habitants. Masochistes?
Le poète dit qu'Horodzuki était sa première expérience de rencontrer la société réelle.
A ce seul "lettré" approchable du village, les vieilles villageoises demandèrent d'écrire des lettres à leurs maris et fils pour elles. Il s'étonna de constater qu'elles ne lui dictaient que la plainte sur leur vie dure. Il reconstruisit leur jérémiade en ce poème, lorsqu'il travaillait dans une petite maison d'édition de Tokyo qui se trouvait en bas du précipice. Ainsi écrivit-il ce poème sur le village sans soleil à un endroit sans soleil.
Assez récemment, on a fait le monument de ce poème à Horodzuki.
Ce poème qui n'a rien de joyeux est peut-être la seule oeuvre littéraire qui parle de ce village, mais j'avoue que je comprends mal les sentiments des habitants. Masochistes?
(Village sans soleil, cliquez pour lire le poème)
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